Grâce à tous nos parrains et marraines, plus de 2.775 orphelins ont accès à l’éducation, à des soins de santé mais aussi à de meilleures conditions de vie. Lors de chaque rentrée scolaire, l’enfant reçoit tout le matériel nécessaire. Il participe aux excursions et aux camps d’été. Il bénéficie d’un suivi médical et reçoit tous les vaccins importants. Lors de l’Aïd al Fitr, il reçoit de nouveaux vêtements. À l’occasion de la Fête du sacrifice un colis de viande lui est offert.
Depuis quelques années, nous soutenons l’école des sourds et malentendants à Tanger par le biais de formations de professeurs, de cours de langues des signes aux parents. Ainsi, par votre générosité, nous avons permis à plus de 1.500 enfants sourds et malentendants d’avoir accès à un enseignement de qualité.
En Ethiopie, votre générosité a permis à 3.000 enfants (1.500 filles et 1.500 garçons) de rejoindre les bancs de l’école alors que leur milieu social leur réservait un bien triste avenir.
Au nom de tous ces enfants sauvés Karama Solidairy vous dit Merci
Merci également du fond du coeur d’avoir soutenu écoles dans leur démarche vers une éducation de qualité. Grâce à vous, chaque école a vu ses infrastructures améliorées avec l’installation de points d’eau potable, de sanitaires, la création de bibliothèques, la formation de professeurs et bien plus encore.
Découvrez sans plus attendre l’impact de vos dons dans ce petit livret !
Désormais, 750 familles au Niger peuvent cultiver les terres et subvenir aux besoins de leur famille tout au long de l’année. Elles ne craignent plus la famine car elles disposent d’un travail stable qui constitue une garantie des moyens de subsistance.
Fadi, une maman héroïne
Touchée par votre générosité, elle souhaite vous partager un message :
Je m’appelle Fadi Yayé Kanda, j’ai 60 ans et je vis à Kobanda Laweye. Je suis veuve et j’ai 5 enfants et 5 orphelins à charge. Depuis la mort de mon mari, je me suis consacrée à toute sorte d’activités pour subvenir aux besoins de mon ménage.
Cela a été très difficile car nous ne sommes pas toujours parvenus à joindre les deux bouts mais depuis l’arrivée d’Islamic Relief dans notre village, les choses ont radicalement changé. Aujourd’hui, nous avons des activités de subsistance comme la production de légumes mais aussi d’autres activités rémunérées qui permettent à de nombreux ménages qui étaient dans la même situation que moi de vivre plus confortablement. Grâce à l’argent que je gagne, j’achète des céréales pendant les périodes de pénurie alimentaire.
Auparavant, les hommes et les garçons avaient l’habitude d’émigrer vers les villes voisines à la recherche d’un emploi et ils étaient contraints d’abandonner leur femme qui étaient chargées des enfants et des personnes âgées. Ces nouvelles activités de travail contre rémunération ont considérablement retenu les gens dans le village et l’argent qu’ils reçoivent suffit largement à couvrir les besoins alimentaires de leur ménage.
Vous aussi, sauvez des vies avec une sadaqa Jariya
Seydou Diarra, un agriculteur de 62 ans vivant dans le village de Komi Komi a bénéficié de notre projet d’eau et relance économique.
« A l’époque, mon village était connu pour sa production de céréales variées mais depuis une dizaine d’année, à cause de la sécheresse, les choses ont radicalement changé. Les aliments de base comme le riz sont devenus des denrées rares et ne sont désormais consommés que lors d’occasions spéciales.
Grâce à Dieu, depuis le lancement du projet par Karama Solidarity, une lueur d’espoir est née. Le village a retrouvé le sourire grâce à la construction du micro-barrage. La consommation de riz n’est plus occasionnelle. Les ménages mangent en fin de journée, les trois repas quotidiens sont assurés, et les stocks permettent de couvrir la période de soudure. La conservation de l’eau nous permet également d’abreuver nos animaux jusqu’à la prochaine saison des pluies. Ils broutent l’herbe fraîche qui pousse tout le long du micro-barrage. Dans nos foyers, les puits sont remplis et cette eau en abondance nous permet de pratiquer le maraîchage intensif.
Aujourd’hui, les mots nous manquent pour vous dire combien ce projet a changé nos vies. Au nom de tout le village et de la coopérative rizicole, nous tenons à VOUS remercier sincèrement ainsi que Karama Solidarity. Qu’Allah vous bénisse. »
La ferme collective de Mahaba, plus performante que jamais
Le groupe d’agriculteurs Rhamu Mahaba, formé en 2014, est constitué de 23 membres, 14 hommes et 9 femmes. Leur objectif commun est d’investir dans l’agriculture et d’améliorer ainsi la situation économique de chacun. Pour cela, ils disposent d’une ferme collective servant à la production agricole. Leurs terres étaient au départ alimentées en utilisant les techniques d’irrigation par sillon.
Cependant, ce système d’irrigation n’était pas des plus performants :
« Il était très difficile et coûteux d’irriguer la ferme collective de Mahaba, car les canaux et les structures en terre étaient très fragiles ce qui limitait nos possibilités pour exploiter les terres disponibles. De plus, les heures consacrées à l’arrosage grâce au générateur de courant étaient élevées. Ainsi, la consommation en carburant et les coûts de maintenance l’étaient aussi. » M. Abdiwahab, le directeur de la ferme collective.
Pour remédier à cela, Karama Solidarity a fourni à la collectivité un prêt de 480.050 KES (environ 3.600 €) pour l’achat de kits d’irrigation agro-solaires. Depuis, les agriculteurs de Mahaba sont confiants :
« Nous avons bon espoir que dans trois mois, nous récolterons les fruits de ces nouvelles méthodes d’irrigation, tant en termes de réduction des coûts de production que d’augmentation de la production agricole et des revenus Insha’Allah. »
Aujourd’hui, le projet est couronné de succès et a dépassé leurs attentes. Les quantités de légumes et fruits produits sont bien supérieures à ce qui était espéré.
D’ailleurs pour permettre aux 1000 agriculteurs bénéficiaires du projet de stocker leur production inespérée, Karama Solidarity a construit un grand bâtiment ventilé mais qui ne laissent rentrer ni les insectes ni les rongeurs.
